Zéro phyto 100% bio: le film sort au cinéma le 31 janvier !
SYNOPSIS
Après Insecticide Mon Amour, le réalisateur Guillaume Bodin présente Zéro phyto 100 % bio, son nouveau documentaire. Une enquête passionnante sur plusieurs communes françaises qui n’ont pas attendu l’entrée en vigueur le 1er janvier 2017 de la loi Labbé interdisant l’utilisation de pesticides dans les espaces publics pour changer leurs pratiques. Ce film met aussi en avant les pionniers de la restauration collective biologique et leurs partenaires : associations, entreprises, agriculteurs, ingénieurs, artisans qui ensemble contribuent à l’amélioration de la qualité des repas dans les collectivités. Les associations Générations Futures, Bio Consom'acteurs et Agir Pour l'Environnement sont à l'initiative de ce projet.
UNE PETITE RÉVOLUTION EST EN MARCHE DANS LA GESTION DES ESPACES VERTS.
À Versailles, Miramas, Grande-Synthe, Langouët et Laurenan, la présence de pesticides chimiques de synthèse dans les espaces publics est déjà de l’histoire ancienne. À budget constant, voire inférieur, ces villes et villages arrivent à maîtriser les herbes folles autrement et fleurir ou cultiver des surfaces auparavant inutilisées. Cette dynamique écologique renforce les liens sociaux, permet de préserver la santé des techniciens comme des citoyens et engendre d'autres projets, notamment culturels.
Privilégier les espèces vivaces et endémiques, aider les professionnels et les citoyens à adopter de nouveaux réflexes, inciter les entreprises à innover pour mieux répondre aux nouvelles pratiques paysagères sont autant d’actions qui participent à une gestion écologique globale des villes, tout en respectant la santé des habitants.
DU 100 % LOCAL ET BIOLOGIQUE DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE, C’EST POSSIBLE !
Le projet de loi imposant 20 % de produits issus de l’agriculture biologique dans la restauration collective n’a pas été adopté au Sénat, mais cela n’a pas empêché certaines communes de prendre les devants. À Mouans-Sartoux, la régie agricole municipale répond à l'essentiel des besoins alimentaires de la commune. Le reste est fourni par des fermes biologiques locales. À Langouët comme à Paris, dans les 2e et 5e arrondissements, les élus ont adopté des mesures drastiques pour améliorer la qualité des repas et collaborent étroitement avec des agriculteurs bio et des associations de leur région.
Comme le dit le maire de Barjac, « nourrir, c’est aimer », alors pourquoi « lésiner » quand il s’agit de nourrir nos enfants ? Les populations des hôpitaux, des prisons, des écoles ou des maisons de retraite n’ont-elles pas droit à une alimentation saine et de qualité ?
Conscients de leurs responsabilités en termes de santé publique et d’environnement, ces acteurs de terrain ne livrent pas de solutions toutes prêtes, mais décrivent plutôt les étapes qu’ils ont franchies pour mener à bien leurs projets. Leur expérience montre que toutes les communes, quelles que soient leur taille et leur couleur politique, peuvent changer leurs pratiques.
Un documentaire d’utilité publique à diffuser le plus largement possible.
Après Insecticide Mon Amour, le réalisateur Guillaume Bodin présente Zéro phyto 100 % bio, son nouveau documentaire. Une enquête passionnante sur plusieurs communes françaises qui n’ont pas attendu l’entrée en vigueur le 1er janvier 2017 de la loi Labbé interdisant l’utilisation de pesticides dans les espaces publics pour changer leurs pratiques. Ce film met aussi en avant les pionniers de la restauration collective biologique et leurs partenaires : associations, entreprises, agriculteurs, ingénieurs, artisans qui ensemble contribuent à l’amélioration de la qualité des repas dans les collectivités. Les associations Générations Futures, Bio Consom'acteurs et Agir Pour l'Environnement sont à l'initiative de ce projet.
UNE PETITE RÉVOLUTION EST EN MARCHE DANS LA GESTION DES ESPACES VERTS.
À Versailles, Miramas, Grande-Synthe, Langouët et Laurenan, la présence de pesticides chimiques de synthèse dans les espaces publics est déjà de l’histoire ancienne. À budget constant, voire inférieur, ces villes et villages arrivent à maîtriser les herbes folles autrement et fleurir ou cultiver des surfaces auparavant inutilisées. Cette dynamique écologique renforce les liens sociaux, permet de préserver la santé des techniciens comme des citoyens et engendre d'autres projets, notamment culturels.
Privilégier les espèces vivaces et endémiques, aider les professionnels et les citoyens à adopter de nouveaux réflexes, inciter les entreprises à innover pour mieux répondre aux nouvelles pratiques paysagères sont autant d’actions qui participent à une gestion écologique globale des villes, tout en respectant la santé des habitants.
DU 100 % LOCAL ET BIOLOGIQUE DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE, C’EST POSSIBLE !
Le projet de loi imposant 20 % de produits issus de l’agriculture biologique dans la restauration collective n’a pas été adopté au Sénat, mais cela n’a pas empêché certaines communes de prendre les devants. À Mouans-Sartoux, la régie agricole municipale répond à l'essentiel des besoins alimentaires de la commune. Le reste est fourni par des fermes biologiques locales. À Langouët comme à Paris, dans les 2e et 5e arrondissements, les élus ont adopté des mesures drastiques pour améliorer la qualité des repas et collaborent étroitement avec des agriculteurs bio et des associations de leur région.
Comme le dit le maire de Barjac, « nourrir, c’est aimer », alors pourquoi « lésiner » quand il s’agit de nourrir nos enfants ? Les populations des hôpitaux, des prisons, des écoles ou des maisons de retraite n’ont-elles pas droit à une alimentation saine et de qualité ?
Conscients de leurs responsabilités en termes de santé publique et d’environnement, ces acteurs de terrain ne livrent pas de solutions toutes prêtes, mais décrivent plutôt les étapes qu’ils ont franchies pour mener à bien leurs projets. Leur expérience montre que toutes les communes, quelles que soient leur taille et leur couleur politique, peuvent changer leurs pratiques.
Un documentaire d’utilité publique à diffuser le plus largement possible.
« 0 phyto 100% bio » sur grand écran grâce à vous !
La campagne de financement participatif vient de s’achever et c’est du fond du cœur que nous vous remercions toutes et tous, vous les 1396 contributrices et contributeurs qui nous ont permis de récolter 63 302 € pour la réalisation ET la diffusion du prochain film de Guillaume Bodin « Zéro phyto 100% bio » ! Merci pour tous vos soutiens, encouragements, partages et diffusion de la campagne, nous n’aurions jamais pu le faire sans vous !
Nous allons ainsi pouvoir faire vivre ce film partout en France – et au cinéma - et profiter de cet outil incomparable pour susciter le débat
Le tournage est bientôt fini et Guillaume va pouvoir s’atteler au montage de la version cinéma (82 minutes) du film. Nous pourrons ensuite le faire vivre partout en France – et au cinéma – et profiter de cet outil incomparable pour susciter le débat, à commencer pendant les avant-premières qui auront lieu dès le mois de mars prochain, notamment pendant la Semaine pour les alternatives aux pesticides (20-30 mars) !
"Zéro phyto 100%bio" Le premier film des villes sans pesticides et des cantines bio !
Visionnez la présentation du film, par Guillaume Bodin
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Dans le prolongement de la campagne que nous menons depuis plusieurs années, nous lançons, en partenariat avec le réalisateur de films indépendants Guillaume Bodin, une campagne de financement participatif jusqu’au 16 novembre prochain – pour nous aider à produire et diffuser le premier film sur les villes 0 phyto et les cantines 100% bio.
Ce film, dont les avant-premières devraient avoir lieu dès mars 2017, sera un outil citoyen et de débat public. Ce sont en effet les aventures des acteurs des villes sans pesticides et des cantines bio que nous souhaitons raconter afin de pousser d'autres communes à s'engager en faveur de la santé et de l'environnement. Seulement, pour pouvoir produire et diffuser ce film au maximum, nous avons besoin de vous ! |
Contexte du film et histoire
Dès le 1er janvier 2017, les communes et les collectivités n'auront plus le droit d'utiliser de pesticides de synthèse pour entretenir les espaces publics. C'est un pas vers la diminution de notre dépendance aux pesticides et vers la préservation de la santé des citoyens et de la nature et de la biodiversité.
Cette loi, c'est le fruit du travail d'un sénateur, Joël Labbé, et de la société civile, notamment les associations partenaires du projet "Zéro Phyto 100% Bio". Mais sur les 36 000 communes françaises, certaines ont pris une avance considérable sur la loi, et ce, depuis de très nombreuses année ! Comment ont-elles fait pour s'affranchir des pesticides ? Nous tenterons d'y répondre dans le documentaire...
Outre cette question de l’usage des pesticides sur les espaces communaux, ce film abordera la question de l’alimentation dans les cantines scolaires. Savez-vous que malgré les 5 % de la surface agricole utile en France est cultivée en bio aujourd'hui, de nombreuses communes ont déjà fait le choix du 100% bio pour nos enfants ? La restauration collective publique peut jouer un rôle majeur dans la transition vers le 100% bio: à elles seules, les cantines françaises drainent 8 millions de repas par jour. C'est un levier important pour développer la bio.
Aussi, certains élus ont proposé de fixer, dans une loi, 20% de produits bio dans les cantines en 2020, contre un peu plus de 4 % aujourd'hui. Un objectif non seulement réaliste au vu des surfaces actuellement en bio, mais qui aurait eu, en plus, le mérite d'encourager les paysans. Il a néanmoins été rejeté par le Sénat, sous prétexte que c'était impossible. Malgré tout, un grand nombre de collectivités proposent aujourd'hui du 100% bio dans l'assiette de nos enfants.
Nombreuses sont les personnes surmontant courageusement les obstacles techniques et les pressions politiques ou encore sociales, pour se libérer des pesticides et proposer une alimentation respectueuse de la santé et de l'environnement. Ces initiatives, locales et trop peu audibles,nous nous donnons pour pour objectif depuis de nombreuses années de les mettre en avant, notamment via la campagne "Zéro Phyto, 100% Bio", afin de montrer que le changement est possible.
Grâce à ce film que nous porterons ensemble, elles apparaîtront sous un jour nouveau : au cinéma.
Cette loi, c'est le fruit du travail d'un sénateur, Joël Labbé, et de la société civile, notamment les associations partenaires du projet "Zéro Phyto 100% Bio". Mais sur les 36 000 communes françaises, certaines ont pris une avance considérable sur la loi, et ce, depuis de très nombreuses année ! Comment ont-elles fait pour s'affranchir des pesticides ? Nous tenterons d'y répondre dans le documentaire...
Outre cette question de l’usage des pesticides sur les espaces communaux, ce film abordera la question de l’alimentation dans les cantines scolaires. Savez-vous que malgré les 5 % de la surface agricole utile en France est cultivée en bio aujourd'hui, de nombreuses communes ont déjà fait le choix du 100% bio pour nos enfants ? La restauration collective publique peut jouer un rôle majeur dans la transition vers le 100% bio: à elles seules, les cantines françaises drainent 8 millions de repas par jour. C'est un levier important pour développer la bio.
Aussi, certains élus ont proposé de fixer, dans une loi, 20% de produits bio dans les cantines en 2020, contre un peu plus de 4 % aujourd'hui. Un objectif non seulement réaliste au vu des surfaces actuellement en bio, mais qui aurait eu, en plus, le mérite d'encourager les paysans. Il a néanmoins été rejeté par le Sénat, sous prétexte que c'était impossible. Malgré tout, un grand nombre de collectivités proposent aujourd'hui du 100% bio dans l'assiette de nos enfants.
Nombreuses sont les personnes surmontant courageusement les obstacles techniques et les pressions politiques ou encore sociales, pour se libérer des pesticides et proposer une alimentation respectueuse de la santé et de l'environnement. Ces initiatives, locales et trop peu audibles,nous nous donnons pour pour objectif depuis de nombreuses années de les mettre en avant, notamment via la campagne "Zéro Phyto, 100% Bio", afin de montrer que le changement est possible.
Grâce à ce film que nous porterons ensemble, elles apparaîtront sous un jour nouveau : au cinéma.
Quelques-unes des communes présentes dans le film
Les communes qui seront présentées dans le film ont gagné le prix "Zéro Phyto, 100% Bio" en mars 2015. Plus de 35 municipalités ont ainsi été valorisées pour leurs actions concrètes en faveur de l'arrêt des pesticides et/ou de la promotion de la bio.
Grande-Synthe, la battante
Mouans-Sartoux, la pragmatique
Versailles, la ville jardin
Miramas et ses "brigades vertes"
Laurenan,la santé avant tout !
Langouët, petite mais costaude
Qui est Guillaume Bodin, le réalisateur de "Zéro phyto 100% bio" le film?
Il était ouvrier viticole sur des domaines en bio et en biodynamie avant de me lancer dans la réalisation de films documentaires ! Amoureux de la nature et épicurien, il s'est dit qu'il fallait faire sa part dans ce monde afin de sensibiliser le maximum de personnes à la préservation de l'environnement et à une alimentation de qualité.
Il a déjà réalisé "La Clef des Terroirs" en 2010 qui explique le travail de vignerons en bio et en biodynamie, ainsi que "Insecticide Mon Amour" en 2015 qui parle du problème des traitements systématiques des vignes aux insecticides et dont l'affaire d'un vigneron (Emmanuel Giboulot) ayant refusé de traiter avait fait la une de la presse en 2014 ! Il a créé sa propre petite structure de production de films pour être le plus indépendant possible : Dahu Production (Il est savoyard... Pour ceux faisant le lien avec l'animal !). Cette structure est membre d'une Coopérative d'Activités et d'Emploi (CAE) annécienne exploitant sous la forme d'une Société Coopérative et Participative (SCOP) au nom d'Amétis. Il a préféré intégrer une Coopérative d'Activités et d'Emploi plutôt que de créer sa propre structure car il pense qu'il devient urgent d'horizontaliser l'économie et ce système de la CAE exploitée sous la forme d'une SCOP répond à ses convictions en matière de partage. www.dahuproduction.com |